Le héros de ce film, joué par Benoît Poelvoorde, qui a déserté au début de la Seconde Guerre mondiale, décide de se faire passer pour juif afin de bénéficier des filières d’exfiltration.
Le film s’inscrit dans une tradition d’oeuvres humoristiques sur la Shoah, où l’on compte par exemple La Vie est belle de Roberto Benigni (1997) ou Train de vie de Radu Mihaileanu (1998), des oeuvres qui posent évidemment la question éthique de savoir dans quelle mesure il est possible de rire à propos des meurtres de masse.

